Les feuilles d’automne

Pour que l’art fût détruit, il faudrait commencer par détruire le cœur humain.
Paris, 24 novembre 1831

Les Feuilles d’automne

Les Feuilles d’automne. 40 poèmes ; des vers de la famille, du foyer domestique, de la vie privée ; des vers de l’intérieur de l’âme (…) un regard mélancolique et résigné (…) sur ce qui est, surtout sur ce qui a été ; de l’autobiographie poétique (Ce siècle avait deux ans…) à l’annonce d’une poésie au service des peuples sans défense (Amis un dernier mot… ).

(Arnaud Laster, in Pleins feux sur Victor Hugo, Comédie-Française)

Les Feuilles d’automne
Détail de l’illustration de l’édition de La Librairie Paul Ollendorf des Œuvres Complètes de Victor Hugo, Tome I, des Feuilles d’automne.

Gravure en noir et blanc qui représente le salon de Victor Hugo.
Ce détail d'un dessin de Victor Hugo représente un cours d'eau qui traverse la feuille en diagonale ascendante. L'une des berges est sombre, à gauche, l'autre est blanche, comme enneigée. Un pont (une planche ?) relie les deux berges.

XIV. Ô mes lettres d'amour...

Ce détail d'un dessin de Victor Hugo représente une forme qui surgit de l'enfance, tel un souvenir...

XXX. Souvenir d'enfance

Ce détail d'un dessin de Victor Hugo représente un pont de pierres près duquel se dresse un arbre écharné. Au loin, sur une colline, on aperçoit les ruines d'un château.

XVI. Quand le livre où s'endort...

Ce détail d'un dessin de Victor Hugo représente le dos d'une jeune femme allongée, tête posée sur un oreiller.

XXII. À une femme

Ce détail d'un dessin de Victor Hugo représente une forme qui se dresse dans la nature, ou qui jaillit des taches du dessin, comme si ce siècle avait deux ans...

I. Ce siècle avait deux ans...

Ce détail d'un dessin de Victor Hugo est un tableau abstrait. Sur un horizon mouvementé, pleurent vers le bas des taches noires, tandis que s'en échappe un nuage blanc surmonté d'un ciel aqueux. Dans le coin supérieur droit, on aperçoit un coin de disque solaire.

XXXV. Soleils couchants

Ce détail d'un dessin de Victor Hugo représente les hauteurs d'une ville donnant sur un lac dans lequel apparaît une autre ville, elle-même reflétée par son négatif en écho.

XXIX. La Pente de la rêverie