L’Année terrible
Ce siècle est à la barre et je suis son témoin.
L’Année terrible
Après un prologue sur le plébiscite du 8 mai 1870 (les 7 500 000 oui), 97 poèmes classés selon les douze mois d’une année, d’août 1870 à juillet 1871 : dans les sept premiers mois, il s’agit de la guerre franco-allemande et du siège de Paris, dans les cinq suivants, de la Commune et de ses lendemains.
Un épilogue évoque le Vieux Monde englouti par le Flot.
(Arnaud Laster, in Pleins feux sur Victor Hugo, Comédie-Française)
IV. Je n'ai pas de palais épiscopal en ville...
Je n'ai pas de palais épiscopal en ville... - Les références
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XI. Sur une barricade, au milieu des pavés...
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VI. Une bombe aux Feuillantines
Une bombe aux Feuillantines - Les références
L'Année terrible…
IV. Est-il jour ? Est-il nuit ? horreur crépusculaire...
Est-il jour ? Est-il nuit ? horreur crépusculaire... - Les…
IX. À l'évêque qui m'appelle athée
À l'évêque qui m'appelle athée - Les références
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